Oublier la misère qui s’acharne,
Oublier la guerre qui sent la carne.
La haine qui incendie les hommes,
Leur mépris pour leurs mères,
La cupidité qui affame les ventres,
L’autoritarisme qui accable les âmes.
La croyance qui aveugle les faibles,
L’indifférence qui les noie dans l’oubli
L’honneur qui, des autres, écrase le bonheur,
La vanité qui bafoue l’humanité.
Dans tes bras, je veux oublier
La sagesse qu’imposent les années
Dans tes bras, je veux oublier…
fabuleux!!!
RépondreSupprimermerci beaucoup mon ami ! Suis heureux de savoir que ça te plaît !
SupprimerBonne fin de weekend !