J'étais un vagabond,
L'amour faisait faux bon.
Je touchais le fond
De ma vie de con.
Je tournais en rond,
J'attendais un rebond,
L'amour profond,
Pour offrir le bon
Et aussi le moins bon
À un brun ou un blond
Mince ou bien girond
Mais pas un pudibond.
Je t'ai rencontré,
Un beau soir d'été.
Tu m'as allumé,
Je me suis laissé aller.
Tu m'as embrassé
Ou je t'ai embrassé.
Je me suis embrasé,
Tu t'es enflammé.
On s'est contenté.
Waouh! Quel pied !
On s'est quitté,
On ne s'est pas oublié.
Je t'ai appelé
Ou tu m'as appelé.
Du coup, on s'est revu.
De nos entrevues,
Au rythme soutenu,
L'amour est survenu,
Bien que défendu.
Tu es devenu
Pour moi, l'élu,
Longtemps attendu.
Cet Amour éperdu
N'avait d'autre issue,
Que d'être vécu.
Plutôt être pendu,
Que d'être dépourvu
De ce bonheur absolu.
Depuis,
Je n'ai qu'une envie,
Je te le dis,
Partager ce défi,
Avec toi faire ma vie,
Combler tes appétits
Et les miens aussi…
Mon amour, mon ami,
Tu es bien celui
Que mon cœur a choisi,
Pour l'infini
De mes jours et de mes nuits.
Texte et photos Christian Bailly
Tous droits réservés
21/09/20015
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