De notre amour
contrarié, rien n'y fera pour l'oublier.
Toute la pluie du
ciel n'y suffirait même pas,
Pour, sur mon corps,
effacer tous tes baisers,
Tes caresses
déposées, les souvenirs de tes appâts.
Pas même un tsunami
de malheur sur mon âme abattue,
Ne faucherait toutes
mes pensées à toi consacrées.
Le ciel assombri pose
sa chape sur ma déconvenue.
Le soleil s'éclipse,
se dérobe à mon âme désespérée.
Comment, dans un
déluge, pourrais-je noyer mon chagrin
Quand le flot de mes
larmes intarissables me submerge déjà ?
La terre peut bien
s'ouvrir, s'éventrer sous mes pas incertains,
Pour m'emporter
maintenant vers l'enfer, je n'en souffrirai pas.
Ma chair ne rêve que
de braises pour apaiser ses déboires.
Attisé par les
souvenirs, mon désir en deuil se regimbe.
Ici-bas, ma vie n'est
que le purgatoire de mon désespoir.
Je ne vois ma
délivrance que dans le feu des limbes.
N'avais-tu pas froid, nu dans la neige?
RépondreSupprimerNooooooooon ! tu sais bien je suis très chaud chaud ! ;-)
SupprimerChristian ne bandait pas dans la neige,mais il s'est rattrapé après!!!
RépondreSupprimerPierre
Oui , tu as raison Pierre.... Pas facile, il faisait pas très chaud tout de même. En plus je posais et prenais les photos avec le minuteur, alors pas très aisé à faire.
SupprimerMais après, action, réaction.... pour le coup j’étais très chaud...Je m’enflammais vite ! 😉😊
À cette époque la, je ne me laissais pas décourager par la saison tu sais...
Amicalement
Christian