Quand je n'aurai
plus de mots à t'écrire…
Quand je n'aurai
plus de soupirs à te dire…
Quand de mes baisers,
tu connaîtras la pénurie…
Quand je tairai mes
envies et mes désirs…
Quand je ne sentirai
plus ton corps frémir…
Quand je n'aurai
plus de rêves à assouvir…
Quand je n'aurai
plus de quoi te ravir…
Quand ma plume
n'aura plus sa muse…
Alors mon cœur
n'aura plus qu'une excuse…
Je serai
mort de t'avoir trop aimé.
Ne me cherche pas,
Ne me pleure pas,
Sur d'autres rivages
éloignés
J'apprendrai alors
la patience de t'attendre
Pour enfin à ton
amour prétendre.
Je t'attendrai le
temps qu'il faut,
Pour assouvir ce qu'ici-bas
m'aura fait défaut
T'aimer pour
l'éternité…
Texte et photos Christian Bailly
Tous droits réservés
22/02/2010
cher christian ce que je trouve magnifique c'est que textes et photos sont destinés à un seul être, l'aimé, dont le désir et l'amour caressent chaque mot, chaque image de toi
RépondreSupprimerMerci beaucoup mon ami... Merci mille fois ! que dire après çà ? Tu as vu avec justesse le mobile de ma poésie, le sens de ma vie, l'objet de mon amour... Oui, chaque mot de ma poésie est pour l'aimé, chaque mot de ma poésie un désir...
Supprimerchaque poésie un chant d'amour...
A bientôt j'espère...
Amicalement
J'aime la larme de joie de la dernière photo.
RépondreSupprimerJe pense un peu différent de astruc: ces mots sont également destinés à nous tous. Sinon, ils ne seraient pas là!
Oui tu as raison, au travers de lui c'est aussi tous les hommes que j'aime...
SupprimerMais c'est lui qui reçois toutes les preuves physiques et amoureuses...
Et je ne partagerais pas toutes ces émotions si je ne vous aimais pas...vous les hommes... vous mes hommes...
J'ai attendu si longtemps de pouvoir le dire, vous le dire... Oui j'aime les hommes !
Bises mon ami