De cet Hiver qui se meurt, je garde les souvenirs
De nos longues nuits sur ta généreuse couche,
De nos caresses, de nos ébats, de ta bouche,
De nos matins languissants à tenter de nous désunir.
De cet Hiver qui se meurt, je brûle aussi d'entretenir
Les prémisses de ce bonheur qui, enfin, accouche,
De mes espérances, ces secousses qui me touchent
De ton amour, les ravissements exigeants du désir.
De ce Printemps naissant, j'attends le plaisir
De contempler le soleil caressant ta frimousse,
Sentir ton corps me demander que je le détrousse,
L'exhiber, impudique, aux nues, finalement l'assaillir.
De ce Printemps naissant, j'attends de voir venir
Ses tapis de couleurs, ses nuits bien plus douces,
De sagement t'allonger nu sur un lit de mousse,
Et doucement, te dévergonder, te faire frémir.
De ce Printemps naissant, je veux simplement t'offrir
Sa voûte constellée, auréolée d'un rayon de lune rousse,
Pour ciel de lit, et son silence, pour que tu l'éclabousses
De tes gémissements et de l'explosion de ton plaisir.
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Réveil matin, réveil câlin.
RépondreSupprimerPresque tous les matins, rituel masculin, le réveil a sonné, il faut sortir du lit, mais oups, là ça coince...le pote de l'entre-jambe s'éveille pour attirer toute l'attention sur lui et là...rien à faire (quoi que...).
Oui tu as bien raison, Patrick… Au point que c’est parfois difficile à concilier avec le travail…. Et que le temps manque…😊😉😊 Dur , d’attendre jusqu’au soir…😊😉 Par contre le week-end, mmmmmm que c’est bon….
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